Ma première année à la JCI

Il m’a été demandé de parler de ma première année à la JCI, mais je ne peux l’évoquer sans d’abord expliquer le contexte dans lequel je suis entrée dans le mouvement.

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CLAP, ça tourne ! Dans le cadre d’un projet personnel, cherchant à me créer un réseau et surtout à obtenir une aide financière pour mener à bien mon idée – aaaaaah l’argent, ce nerf de la guerre – je poussais toutes les portes que je pouvais, quelle qu’en soit la finalité. Je savais, de toute évidence, qu’il y avait du positif à retirer derrière chacune d’entre elles.

Au détour d’une conversation avec un expert-comptable – qui m’avouera par la suite être sénateur du mouvement et fier de l’être – il m’a été conseillé de me renseigner sur la Jeune Chambre Internationale, avec pour objectif de m’offrir des opportunités pour mon projet.

Le 29 février 2020, j’entrais officiellement dans le mouvement en participant à l’activité organisée par le District de Liège, la visite de l’expo Toutankhamon à la gare des Guillemins. Une date que j’aurais du mal à oublier d’autant plus quand on sait que, à peine 13 jours plus tard, nous nous retrouvions tous confinés.

Dans ce contexte quelque peu particulier et inédit, le virtuel s’est imposé pour ma première rencontre avec les membres de ma section locale (JCI Malmedy-Hautes Fagnes) et toutes mes premières réunions. Alors comme entrée en matière, il y a mieux !

Mais, la JCI avait piqué ma curiosité et le côté chaleureux et dynamique qui se dégageait de JCI Malmedy a réussi à m’embarquer dans l’aventure 🙂 

Réunion de commission « Beaune en balade »
Charlotte est membre !
Voeux de Noël de la section
Mensuelle
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Booste ton avenir

Les circonstances faisant, on ne peut pas vraiment dire que ma première année JCI a été full en activités et évènements en tout genre. Mais malgré tout, elle a été riche en animations. J’ai eu l’occasion de participer à beaucoup de formations en ligne (MBTI, gestion des e-mails, du temps, mindmapping…), ainsi que de m’investir dans l’organisation de divers projets au sein de ma section locale tels que « Booste ton avenir », « Ça existe », « Ikigai », « Beaune en balade », …

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Beaune en balade

Alors, ce que je retiens avant tout de ma première année JCI, ce n’est pas tellement les nombreuses possibilités de se former, d’organiser des projets et de créer des changements positifs pour sa région, même si ça en fait partie, mais c’est surtout la capacité qu’à le mouvement de savoir rebondir lorsque les circonstances l’imposent. Et la résilience est, selon moi, une valeur essentielle doublée d’une qualité indispensable dont toute personne ayant soif d’entreprendre doit se doter.

Me lancer dans l’aventure JCI était un choix de cœur, une décision instinctive. Et deux ans plus tard, je n’ai pas de regret. Je suis fière de faire partie d’un mouvement de jeunes qui se bougent pour créer du positif, pour partager ses connaissances, pour faire changer les choses. Alors que ce soit à petite ou grande échelle, quelle importance finalement, le principal c’est d’essayer, de passer à l’action. Et si sur le chemin, qu’elle qu’en soit la finalité, on apprend quelque chose au passage, alors on a tout gagné ! Learning by doing telle est la devise de la JCI.

A la Jeune Chambre, tout qui souhaite s’investir est le bienvenu, c’est ça aussi qui m’a séduite. Chaque personne est respectée dans son unicité. On dit souvent que tutoyer quelqu’un, d’autant plus s’il est plus âgé, est un manque de respect. À la JCI tout le monde se tutoie et ce même au-delà des frontières et pourtant je n’ai jamais ressenti un quelconque irrespect.

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Souper des sénateurs (JCI Malmedy – Hautes-Fagnes)

La JCI c’est pour moi une énergie contagieuse et stimulante.

La JCI c’est mettre un projet sur pied et éprouver un sentiment de fierté et de gratitude une fois concrétisé. 

La JCI c’est réfléchir et construire demain avec d’autres personnes ayant les mêmes valeurs que soi.

La JCI c’est avoir un impact positif sur son avenir et celui de ceux qui nous succéderont.

La JCI c’est apprendre des autres mais aussi et surtout, apprendre de soi-même.

Charlotte Lecart, membre de JCI Malmedy – Hautes Fagnes

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